Elle est nue. Je vois sa poitrine, le reste de son corps est couvert par les draps roses et mauves. Je tourne ma langue dans ma bouche, j'essai de la tourner dans ma tête en fait. Comprendre comment tout cela est arrivé.
Depuis le début, je rêvais un peu que ça se passe comme ça. J'en rêvais, je ne l'imaginais ou l'espérais même pas. Le terme d'espérer aurait déjà était trop fort vu l'absence de probabilité de vivre une une histoire si perfectible.
Fin des épreuves du bac. Moins de 24h pour souffler et prendre la route avec mes deux meilleurs amis. Direction ma maison de vacances en Aquitaine. Une dizaine de jour pour oublier une année bien longue. Dix jours pour ne pas penser à l'échéance des résultats, début juillet. Une semaine et demi loin du béton de Paris pour vivre le "contact au naturel".
Mon autre joie provient du fait que une des mes meilleures amies que je vois là-bas tout les ans va venir. Elle ne va pas venir les mains vides, mais avec trois amies à elle. Des filles que je ne connais pas. Des filles auprès desquels je ne suis pas grillés. Je m'endors en pensant au quelques jours où elles seront là. Je rêve à m'imaginer en séduire une. Partager un peu d'affection, de sentiments, de caresses durant quelques jours. En cette fin de juin, c'est jeunes filles n'auront pas beaucoup d'autres garçon sà rencontrer, et je sais que mon amie fera tout pour m'aider ou me dire ce que ses amies souhaitent.
Je rencontre ses amies. Je me demande comment cela se fait que les filles si mignonne et sans vulgarité aient déserté la région parisienne. En tout cas, en voilà trois rien que pour moi & mon meilleur ami. Une petite discussion, quelques jeux dans la piscine. Je joue le garçon proche, mais timide. "Je te coule, t'arrose, car je ne te connais pas."
C'est dingue ce que ça avale tout les barratins à cet âge-là. Je sors mon arme. Une soirée au bar, tout le monde hésite à parler. Je fais la discussion, je parle tout seul, comme toujours. C'est de la vraie "discussion" ça au moins. Je propose une billard, rien de tel pour faire plus ample connaissance et commencer à parler individuellement à celle qui me plait. J'entends mes amis et mon amie qui parle de moi. Ils ont remarqué que celle qui me plait c'est Elsa. Ils sont forts, je ne parlent qu'à elle depuis 45 minutes, et eux ils devinent. Bande de gros malins !!! En tout cas, je m'arrange toujours pour être à côté d'elle. Je la fais parler de ses études, de ses passions, de sa famille. Cela se fait tout seul, comme une habitude, comme de marcher, comme de faire du vélo, ça s'oublie jamais : "mais je m'en foutais de sa vie, et surtout de saon avis, beaucoup moins de son envie". M me revient dans la tête. Malgré tout, j'ai beau faire comme toujours, elle, pour une fois, m'intéresse. Tout ce qu'elle me dit m'intéresse. Mes questions sont là car je m'intéresse réellement à elle. On joue 1h30 tous ensembles au billard. Pour ne pas la souler, je vais un peu parler aux autres. Quand elle vient me parler pour éviter que je le fasse avec ses amies, je comprends que je lui plais.
Les filles viennent à la maison voir un dvd, mon ami me vole ma place sur le canapé à côté d'elle. Après leur départ, il finira la tête dans les toilettes pour cette traitise.
Après une après-midi tous ensemble, les filles passent dîner à la maison. Elsa est restée dormir chez elles. Je me propose d'aller la reveiller. Je rentre dans la maison sans frapper, doucement. Je monte à l'étage, je contemple cette si belle demoiselle. Je m'assied au bord du lit. Je caresse son bras, ele entrouve les yeux. Je continue ainsi avec ma main. Ses bras, son visage, son cou reçoivent les caresses procurées par le bout de mes mains. Enfin, elle m'embrasse. On reste ainsi, allongés sur son lit, une demi-heure, à parler de tout et rien. On s'embrasse à peine, nos mains ne cessent d'éfflorer l'un et l'autre. On rejoins les autres.
La soirée n'est rien d'original, une bête partie de carte. Mais avec la complicité de Elsa, elle est tout à fait différente. La tête de Elsa est sur mes jambes, je lui caresse le front, elle me sourit. Ca y est, j'ai la tête qui tourne. Je ne sais plus ce que je dois faire.
A un moment dans la soirée elle descend, je la suis, à l'abris des regards indiscrets, je l'embrasse à pleine langue, elle se colle et frotte à moi. Je la pousse contre le mur, elle se frotte contre moi, elle respire fort alors que je ne fais que l'embrasser. En remontant rejoindre les autres, j'ai du mal à me calmer.
Lors du départ des filles, je propose à Elsa de dormir à la maison. Elle me sourit, comme pour valider une proposition qu'elle espérait. Nous allons faire un tour dans le coin. Le soir est doux et frais, tout ce qui est bon. On se promène le long des dunes, puis sur la plage. On rentre lentement. Elle ne passe même pas prendre un pyjama ou une brosse à dent. On s'allonge tout les deux sur mon lit. En fait, j'ai de la chance, mes parents m'ayant laisser la maison, j'ai récupéré leur chambre, leur grand lit et leur beaux draps roses. C'est vraiment sympa comme ambiance. On met un peu de musique, mais on l'arrête rapidement. On reste dans les bras l'un de l'autreà discuter, à s'embrasser. Puis, elle me demande si je veux me coucher immédiatement. Ca m'est égale. Elle décide alors de se déshabiller, elle se met en culotte et débardeur et se glisse dans les bras. Lorsqu'elle se déshabille, je sens cette douce odeur que dégage les belles jeunes filles de 17 ans, qui en ont 18 dans quelques jours lorsqu'elle m'ensorcèlent.
Elle se colle à moi, je la caresse, je l'embrasse. Je remonte doucement ma main entre ses jambes. J'aime ses instants, où une petite culotte humide me colle au doigt. Où mes doigts ne veulent plus décoller de cette petit culotte mouillée. Ma chemise part rapidement, son débardeur est enlevé. Elle souffle, elle se colle à moi, elle deserre ma ceinture et retire mon pantalon. Elle embrasse mon torse, je baise sa poitrine, mon caleçon frotte contre sa culotte. Je saisis sa culotte. Elle gémit très fort quand ma langue éffleure son sexe. Elle retire mon caleçon, je remonte doucement, et je l'entend me respirait frotement dans l'oreille pendant que nous nous embrassons. J'aime ce moment, ou je sens son coprs réagir comme le mien à notre étrainte. Quand ses yeux me fixe, et que ses lèvres m'embrassent. Ses bras sont dans mon dos et me serrent très forts contre elle.
Ca s'arrête, on reste ainsi emboîtés quelques minutes. Elle reste allonger contre moi. Je n'aurais pas cru que des vacances fin juin puisse être ainsi. La suite de la nuit sera douce, ses mains sur moi, les miennes sur elle. C'est vraiment une fille super. Je ne pense pas la revoir, loin des yeux, loin du coeur.
à 00:17